La statue de la Vierge et l’Europe. Les apparitions de Notre Dame à Akita font curieusement partie des rares apparitions à avoir été reconnues par l’Église. Pourquoi curieusement ? Parce que sur les quelque 20 000 apparitions recensées dans le monde, il n’y en que 17 à avoir reçu la bénédiction de Rome. Cette apparition, dans le seul pays à avoir connu les ravages de l’arme nucléaire, est étroitement liée au continent européen. Ce lien passe d’abord par la présence de la statue de la Vierge, dont le modèle provient des Pays-Bas, pays majoritairement protestant, où la Sainte Vierge est apparue en 1945 à la veille du bombardement atomique, avec la croix de son Fils fixée dans son dos. Marie s’est présentée à Amsterdam comme étant « Notre-Dame de tous les Peuples ». 28 ans plus tard, au hasard des rencontres, cette statue s’est retrouvée au couvent de l’Institut séculier des Servantes de l’Eucharistie à Akita au Japon. Si le 25 mars 1945 à Amsterdam, Notre-Dame semblait déjà alerter le monde sur les dangers de la guerre atomique, son installation au Japon en 1973 n’a rien d’anodin.
Un message lié aux apparitions de Fatima. De 1973 à 1981, les Japonais vont assister à 101 lacrymations de Notre Dame de tous les peuples. Mieux. La Sainte Vierge va délivrer à une sourde un message apocalyptique à ne plus pouvoir dormir. Le 13 octobre, la Reine des prophètes annonce une catastrophe terrible, pire que le déluge de la Bible, accompagnée de la destruction des « trois quarts de l’Humanité » si l'homme continue sa course folle sans Dieu. Elle prévient d’une terrible catastrophe où « les survivants envieront les morts ». Or ce 13 octobre 1973 est étroitement lié aux événements de Fatima. 56 ans plus tôt, jour pour jour, pour sa dernière apparition, Notre Dame de Fatima prenait à parti 70 000 personnes réunies à la Cova da Iria (Portugal), avec un soleil ivre qui allait faire mine de s’écraser sur la terre… En 1917, à Fatima, la Vierge a réalisé un miracle unique et grandiose car annoncé à l’avance afin, disait-elle, « que tout le monde croie ». En 1917, les curieux sceptiques en sont quittes pour une peur bleue. Si le miracle était bien visuel en 1917 et est resté sans conséquences pour les 70 000 curieux, en 1973, au Japon, Notre Dame met des mots sur la catastrophe qui s’annonce.
La Dame de l’Apocalypse ? Qu’en est-il aujourd’hui, 101 ans après le miracle du soleil à Fatima, en sachant qu’il y a eu 101 lacrymations de Notre-Dame au Japon ? Les apparitions se suivent et se ressemblent. Tout comme les messages, de plus en plus explicites. La Vierge demande de lui « offrir des sacrifices » depuis un siècle. Qui entend ces messages ? Elle pleure depuis bientôt deux siècles à La Salette, à cause notamment du travail le dimanche. Qui la voit ? Le pape François nous répète depuis l’été 2014 que la troisième guerre mondiale, faite de terrorisme et de conflits larvés, a déjà commencé. Plus récemment, en avril 2018, le journal Le Monde titrait « Apocalypse now ? » en parlant de la réelle menace des 20 000 têtes nucléaires pointer sur notre belle planète. Et, dans le domaine de l’environnement, si peu de gens réagissent concrètement à la montée de la pollution… Heureusement, rien n’est jamais écrit à l’avance : le succès de la prédication du prophète Jonas (« Encore 40 jours et Ninive sera détruite ! », Jonas III, 4) a permis d’éviter la destruction de la ville. Notre propre conversion, aujourd’hui, sera-t-elle capable d’empêcher la catastrophe ?
Les miracles eucharistiques. Les apparitions au Japon en 1973 et celle d’Amsterdam en 1945 ont par ailleurs un autre point commun. Capital lui aussi. Ces deux apparitions sont liées à un miracle eucharistique qui donne la preuve formelle de la transsubstantiation, à savoir que le sacrifice ultime du Christ se rejoue tous les dimanches à la messe, comme l’a proclamé le concile de Latran IV en 1215. 1973, date des apparitions d’Akita, est d’ailleurs l’année où le plus ancien miracle eucharistique connu, celui de Lanciano (Italie), a été reconnu par une équipe de scientifiques des Nations-Unies. Quant à Amsterdam, fief protestant hostile à toute idée de transformation du pain en corps du Christ, la Sainte Vierge dit elle-même qu’elle l’a choisie pour être LA ville du Sacrement (message du 20 mars 1953) ! Notre Dame a de la suite dans les idées et s’y prend à l'avance avec nous. Dès le 15 mars 1345, soit 600 ans avant l’apparition de Notre-Dame de tous les Peuples à Amsterdam, un autre miracle eucharistique se produisait dans la même ville ! Un mourant, Ijsbrand Dommer, qui vient de communier, vomit l’hostie consacrée. Celle-ci est alors jetée au feu, mais les gens présents ont la surprise de voir l’hostie intacte en suspension au-dessus des flammes. Elle sera finalement recueillie et portée solennellement en procession à l’église. Le miracle est reconnu par l’évêque d’Utrecht en 1346 et commémoré chaque année, mais, en 1578, la municipalité devenue protestante interdit toute procession. Elles continueront malgré tout mais en silence. Or, c’est une copie de la statue de la Vierge d’Amsterdam qui suscite les événements d’Akita, dans le couvent des Sœurs de l’Eucharistie. Au Japon, la Vierge en larmes insiste, inlassablement. Elle souhaite faire comprendre dans un message à Sœur Agnès Sasagawa que le Christ est « réellement » présent dans l’Eucharistie, comme si plus personne n'y croyait… À Akita, Notre Dame explique, insiste sur les souffrances de Son Fils qui nous permettent d’être encore en sursis. « J’ai empêché la venue de calamités en offrant au Père les souffrances endurées par le Fils sur la croix… »
Le Rosaire, la seule arme efficace. Le terrible avertissement donné par la Vierge à Akita ne semble effrayer personne. À commencer par les journalistes qui ont boycotté par leur silence ou leur incompétence des propos étayés pourtant par des faits incontestables. Pourquoi ? Pourquoi cette surdité du monde à des messages d’avertissements qui offrent aussi des solutions ? « L’avertissement donné à Akita est une répétition du message de Fatima », souligne Mgr John Shojiro Itô, l’évêque du diocèse de Niigata auquel appartient Akita. Notre Dame souligne l’importance de la prière du Rosaire, seule arme devant les catastrophes annoncées. La preuve ? À Hiroshima, le 6 août 1945, à 8h31, la population civile du Japon découvre les ravages de la bombe atomique. Aucun survivant à 1 200 mètres du centre de la bombe. Les victimes meurent sur le coup, brûlées par 300 000 degrés Celsius. À 100 mètres de l’explosion, un groupe de Jésuites missionnaires allemands s’en sort miraculeusement. Leur maison, typiquement japonaise, reste debout. « Nous avons survécu parce que nous vivions le message de Fatima. Nous avons vécu et prié le Rosaire quotidiennement dans cette maison », explique le Père Shiffer. À ce jour, ce miracle, comme tant d’autres, reste inexpliqué par la science. Même protection à Nagasaki. Cette fois, ce sont les Franciscains de saint Maximilien Kolbe qui seront protégés. Tous récitaient le Rosaire quotidiennement. « Celui qui se confie à moi par le Rosaire ne périra pas », disait la Vierge à saint Dominique. « Ceux qui le propageront seront secourus par moi dans toutes leurs nécessités. »
Notre Dame prévient, conseille, s’inquiète, pleure. Notre Humanité, elle, est en vacances, accaparée par un quotidien fait de denrées périssables. Les annonces de catastrophes effroyables sont réservées aux fictions de détente, dans les salles de cinéma, tandis que les églises ne cessent de se vider avec des chiffres à faire pâlir nos bâtisseurs de cathédrales : 4 ou 5 % de pratiquants en France. Dans ces messages à Akita, reconnus en juin 1988 par le Vatican, Notre Dame semble relier toutes les catastrophes futures à l’indifférence, voire au mépris du genre humain face aux souffrances de son Fils mort il y a 2000 ans dans une agonie effroyable. Le lien avec l’Eucharistie qui actualise ce sacrifice de la Croix, à Akita comme à Amsterdam, est saisissant. Les miracles eucharistiques se multiplient ces derniers temps. En 1996, en Argentine, le futur pape François est aux premières loges pour constater qu’une hostie souillée trouvée au fond d’une église s’est trouvée recouverte d’un morceau de chair d’un cœur humain. La réalité dépasse la fiction. Plus fort qu’Hollywood ! L’information restera dans le carton de quelques journaux ou sites spécialisés. Les grandes agences de presse seront aux abonnés absents alors que Notre Dame nous alerte sur l’imminence d’une catastrophe mondiale où il faudrait mieux mourir sur le champ. Nous sommes en sursis, c’est une évidence. Dès 2015, le pape François nous faisait comprendre qu’« il ne serait sans doute plus là en 2017 ». Nous sommes pourtant en 2018… Depuis La Salette où Notre Dame a annoncé une guerre civile effroyable en Europe, où « Dieu semblera avoir oublié les siens », jusqu’à l’Escorial en Espagne* où elle annonce le 4 février 1989 qu’un châtiment va tomber sur l’Humanité avec de grandes pluies de feu qui réduiront la terre en cendres et où tous les grands travaux que les hommes ont faits et qu’ils admirent seront détruits. Il n’y a pas de relâche pour ce ciel si présent et qui sans cesse nous interpelle. Face à cela, Notre Dame nous demande de « former un grand troupeau et de nous unir pour prier ». Le Rosaire reste la meilleure des protections. En 1936, à Fatima, à la veille de la Seconde Guerre mondiale, voici ce qu’écrivait le cardinal Manuel Gonçalves Cerejeira, patriarche de Lisbonne (Portugal) : « Ils peuvent rire ces esprits orgueilleux qui ne croient qu'à la valeur de la raison et au seul pouvoir de la force ; mais le Rosaire peut davantage, pour l'établissement du règne de la justice, de l'amour et de la paix, que toutes les armées de toutes les nations, les ressources de la science et les efforts des politiciens. Cette arme spirituelle opère avec la puissance de Dieu. Aucun chrétien ne peut en douter. Les hommes s'agitent, mais c'est Dieu qui dirige l'Histoire. »
*Les apparitions de l’Escorial (près de Madrid, Espagne), non encore reconnues, semblent être la suite de celles d’Akita. Elles commencent en effet en 1981, juste l’année de la 101e lacrymation de Notre-Dame de tous les Peuples qui marque la fin des évènements à Akita, et appellent également à la pénitence pour éviter de grandes catastrophes et consoler le Sacré-Cœur de Jésus.
Un message lié aux apparitions de Fatima. De 1973 à 1981, les Japonais vont assister à 101 lacrymations de Notre Dame de tous les peuples. Mieux. La Sainte Vierge va délivrer à une sourde un message apocalyptique à ne plus pouvoir dormir. Le 13 octobre, la Reine des prophètes annonce une catastrophe terrible, pire que le déluge de la Bible, accompagnée de la destruction des « trois quarts de l’Humanité » si l'homme continue sa course folle sans Dieu. Elle prévient d’une terrible catastrophe où « les survivants envieront les morts ». Or ce 13 octobre 1973 est étroitement lié aux événements de Fatima. 56 ans plus tôt, jour pour jour, pour sa dernière apparition, Notre Dame de Fatima prenait à parti 70 000 personnes réunies à la Cova da Iria (Portugal), avec un soleil ivre qui allait faire mine de s’écraser sur la terre… En 1917, à Fatima, la Vierge a réalisé un miracle unique et grandiose car annoncé à l’avance afin, disait-elle, « que tout le monde croie ». En 1917, les curieux sceptiques en sont quittes pour une peur bleue. Si le miracle était bien visuel en 1917 et est resté sans conséquences pour les 70 000 curieux, en 1973, au Japon, Notre Dame met des mots sur la catastrophe qui s’annonce.
La Dame de l’Apocalypse ? Qu’en est-il aujourd’hui, 101 ans après le miracle du soleil à Fatima, en sachant qu’il y a eu 101 lacrymations de Notre-Dame au Japon ? Les apparitions se suivent et se ressemblent. Tout comme les messages, de plus en plus explicites. La Vierge demande de lui « offrir des sacrifices » depuis un siècle. Qui entend ces messages ? Elle pleure depuis bientôt deux siècles à La Salette, à cause notamment du travail le dimanche. Qui la voit ? Le pape François nous répète depuis l’été 2014 que la troisième guerre mondiale, faite de terrorisme et de conflits larvés, a déjà commencé. Plus récemment, en avril 2018, le journal Le Monde titrait « Apocalypse now ? » en parlant de la réelle menace des 20 000 têtes nucléaires pointer sur notre belle planète. Et, dans le domaine de l’environnement, si peu de gens réagissent concrètement à la montée de la pollution… Heureusement, rien n’est jamais écrit à l’avance : le succès de la prédication du prophète Jonas (« Encore 40 jours et Ninive sera détruite ! », Jonas III, 4) a permis d’éviter la destruction de la ville. Notre propre conversion, aujourd’hui, sera-t-elle capable d’empêcher la catastrophe ?
Les miracles eucharistiques. Les apparitions au Japon en 1973 et celle d’Amsterdam en 1945 ont par ailleurs un autre point commun. Capital lui aussi. Ces deux apparitions sont liées à un miracle eucharistique qui donne la preuve formelle de la transsubstantiation, à savoir que le sacrifice ultime du Christ se rejoue tous les dimanches à la messe, comme l’a proclamé le concile de Latran IV en 1215. 1973, date des apparitions d’Akita, est d’ailleurs l’année où le plus ancien miracle eucharistique connu, celui de Lanciano (Italie), a été reconnu par une équipe de scientifiques des Nations-Unies. Quant à Amsterdam, fief protestant hostile à toute idée de transformation du pain en corps du Christ, la Sainte Vierge dit elle-même qu’elle l’a choisie pour être LA ville du Sacrement (message du 20 mars 1953) ! Notre Dame a de la suite dans les idées et s’y prend à l'avance avec nous. Dès le 15 mars 1345, soit 600 ans avant l’apparition de Notre-Dame de tous les Peuples à Amsterdam, un autre miracle eucharistique se produisait dans la même ville ! Un mourant, Ijsbrand Dommer, qui vient de communier, vomit l’hostie consacrée. Celle-ci est alors jetée au feu, mais les gens présents ont la surprise de voir l’hostie intacte en suspension au-dessus des flammes. Elle sera finalement recueillie et portée solennellement en procession à l’église. Le miracle est reconnu par l’évêque d’Utrecht en 1346 et commémoré chaque année, mais, en 1578, la municipalité devenue protestante interdit toute procession. Elles continueront malgré tout mais en silence. Or, c’est une copie de la statue de la Vierge d’Amsterdam qui suscite les événements d’Akita, dans le couvent des Sœurs de l’Eucharistie. Au Japon, la Vierge en larmes insiste, inlassablement. Elle souhaite faire comprendre dans un message à Sœur Agnès Sasagawa que le Christ est « réellement » présent dans l’Eucharistie, comme si plus personne n'y croyait… À Akita, Notre Dame explique, insiste sur les souffrances de Son Fils qui nous permettent d’être encore en sursis. « J’ai empêché la venue de calamités en offrant au Père les souffrances endurées par le Fils sur la croix… »
Le Rosaire, la seule arme efficace. Le terrible avertissement donné par la Vierge à Akita ne semble effrayer personne. À commencer par les journalistes qui ont boycotté par leur silence ou leur incompétence des propos étayés pourtant par des faits incontestables. Pourquoi ? Pourquoi cette surdité du monde à des messages d’avertissements qui offrent aussi des solutions ? « L’avertissement donné à Akita est une répétition du message de Fatima », souligne Mgr John Shojiro Itô, l’évêque du diocèse de Niigata auquel appartient Akita. Notre Dame souligne l’importance de la prière du Rosaire, seule arme devant les catastrophes annoncées. La preuve ? À Hiroshima, le 6 août 1945, à 8h31, la population civile du Japon découvre les ravages de la bombe atomique. Aucun survivant à 1 200 mètres du centre de la bombe. Les victimes meurent sur le coup, brûlées par 300 000 degrés Celsius. À 100 mètres de l’explosion, un groupe de Jésuites missionnaires allemands s’en sort miraculeusement. Leur maison, typiquement japonaise, reste debout. « Nous avons survécu parce que nous vivions le message de Fatima. Nous avons vécu et prié le Rosaire quotidiennement dans cette maison », explique le Père Shiffer. À ce jour, ce miracle, comme tant d’autres, reste inexpliqué par la science. Même protection à Nagasaki. Cette fois, ce sont les Franciscains de saint Maximilien Kolbe qui seront protégés. Tous récitaient le Rosaire quotidiennement. « Celui qui se confie à moi par le Rosaire ne périra pas », disait la Vierge à saint Dominique. « Ceux qui le propageront seront secourus par moi dans toutes leurs nécessités. »
Notre Dame prévient, conseille, s’inquiète, pleure. Notre Humanité, elle, est en vacances, accaparée par un quotidien fait de denrées périssables. Les annonces de catastrophes effroyables sont réservées aux fictions de détente, dans les salles de cinéma, tandis que les églises ne cessent de se vider avec des chiffres à faire pâlir nos bâtisseurs de cathédrales : 4 ou 5 % de pratiquants en France. Dans ces messages à Akita, reconnus en juin 1988 par le Vatican, Notre Dame semble relier toutes les catastrophes futures à l’indifférence, voire au mépris du genre humain face aux souffrances de son Fils mort il y a 2000 ans dans une agonie effroyable. Le lien avec l’Eucharistie qui actualise ce sacrifice de la Croix, à Akita comme à Amsterdam, est saisissant. Les miracles eucharistiques se multiplient ces derniers temps. En 1996, en Argentine, le futur pape François est aux premières loges pour constater qu’une hostie souillée trouvée au fond d’une église s’est trouvée recouverte d’un morceau de chair d’un cœur humain. La réalité dépasse la fiction. Plus fort qu’Hollywood ! L’information restera dans le carton de quelques journaux ou sites spécialisés. Les grandes agences de presse seront aux abonnés absents alors que Notre Dame nous alerte sur l’imminence d’une catastrophe mondiale où il faudrait mieux mourir sur le champ. Nous sommes en sursis, c’est une évidence. Dès 2015, le pape François nous faisait comprendre qu’« il ne serait sans doute plus là en 2017 ». Nous sommes pourtant en 2018… Depuis La Salette où Notre Dame a annoncé une guerre civile effroyable en Europe, où « Dieu semblera avoir oublié les siens », jusqu’à l’Escorial en Espagne* où elle annonce le 4 février 1989 qu’un châtiment va tomber sur l’Humanité avec de grandes pluies de feu qui réduiront la terre en cendres et où tous les grands travaux que les hommes ont faits et qu’ils admirent seront détruits. Il n’y a pas de relâche pour ce ciel si présent et qui sans cesse nous interpelle. Face à cela, Notre Dame nous demande de « former un grand troupeau et de nous unir pour prier ». Le Rosaire reste la meilleure des protections. En 1936, à Fatima, à la veille de la Seconde Guerre mondiale, voici ce qu’écrivait le cardinal Manuel Gonçalves Cerejeira, patriarche de Lisbonne (Portugal) : « Ils peuvent rire ces esprits orgueilleux qui ne croient qu'à la valeur de la raison et au seul pouvoir de la force ; mais le Rosaire peut davantage, pour l'établissement du règne de la justice, de l'amour et de la paix, que toutes les armées de toutes les nations, les ressources de la science et les efforts des politiciens. Cette arme spirituelle opère avec la puissance de Dieu. Aucun chrétien ne peut en douter. Les hommes s'agitent, mais c'est Dieu qui dirige l'Histoire. »
*Les apparitions de l’Escorial (près de Madrid, Espagne), non encore reconnues, semblent être la suite de celles d’Akita. Elles commencent en effet en 1981, juste l’année de la 101e lacrymation de Notre-Dame de tous les Peuples qui marque la fin des évènements à Akita, et appellent également à la pénitence pour éviter de grandes catastrophes et consoler le Sacré-Cœur de Jésus.