Le livre et le DVD consacrés à Mauricio Panisset
On sait que le Brésil est riche en événements insolites et paranormaux de diverses natures, et les observations d’OVNIs y sont également fréquentes. (Il existe même un « Roswell brésilien » : le cas de Varginha, auquel je consacre un texte – il s’agit d’un texte de Gildas Bourdais – dans la rubrique “Présence extraterrestre”.)
Je vous propose de faire ici connaissance avec quelques médiums à effets physiques brésiliens. Les phénomènes ont été observés essentiellement dans les années 1980. (Je ne sais pas si certaines observations de Pierre Weil avec Amyr datent des années 1990, cet auteur n’ayant pas daté ses observations personnelles. Par contre, je lis, sur le site : www.scimednet.org, que Stanley Krippner a été le témoin, en 1993 et 1994, de phénomènes anormaux produits en présence d’Amyr Amiden. On en trouve un petit compte rendu sur le site : www.exploringtheafterlife.blogspot.fr Voyez, à la fin du texte, l’article en anglais de Fiona Bowie publié sur ce blog.)
Les trois médiums brésiliens que j’évoque ici sont :
Amyr Amiden.
Mauricio Panisset.
Tomaz Green Morton.
I. Amyr Amiden :
Je donne, ci-après, les témoignages de Janine Fontaine et de Pierre Weil à propos de cet étonnant sujet PK brésilien.
1. Le témoignage de Janine Fontaine :
Ancienne cardiologue, anesthésiste et réanimatrice, Janine Fontaine a fait jusqu’en 1970 une carrière hospitalière. Elle entreprit ensuite l’étude des médecines différentes et se posa notamment la question de l’efficacité thérapeutique des guérisseurs philippins. Elle a publié ses premiers livres aux éditions Robert Laffont : « Médecin des trois corps », « La médecine du corps énergétique », « Nos trois corps et les trois mondes »…
Dans son quatrième livre paru en 1987 (également aux éditions Robert Laffont), Janine Fontaine a parlé du médium brésilien Amyr qu’elle a eu l’occasion d’observer. Il se produisait, dans l’entourage de ce personnage, des matérialisations d’objets. Il avait notamment la particularité de matérialiser des médailles de la religion catholique…
Pour qu’une médaille arrive, dit Amyr, il faut qu’il y ait une syntonie entre lui et la personne. Il y a des personnes avec lesquelles il vit et pour lesquelles il ne se produit rien.
Il a pris connaissance de son pouvoir à l’âge de 10 ans. Des choses disparaissaient dans la maison, qu’il « rematérialisait ». Lui aussi, dit-il, disparaissait de la maison :
« Je me souviens que j’étais dans quelque chose de complètement vert. Pour les autres, j’avais disparu. »
Un jour, sa mère dit avoir la nostalgie de l’Arabie. Il s’est senti très léger, a senti comme si quelque chose l’aspirait et a disparu. Deux heures après, il est revenu dans la chambre de ses parents avec une feuille et un fruit de tamarin (une plante d’Arabie). Il n’a pas le souvenir d’être allé au Moyen-Orient. Il a seulement vu « une dimension verte » (sic).
A l’école, il se sentait léviter et devait s’accrocher à la chaise.
« Au collège où c’était très strict, je levais la main pour aller à la toilette, pour léviter tranquillement. Je courais dans le corridor, j’ouvrais la porte des cabinets, je m’asseyais sur la toilette et je pleurais pendant que la lévitation que je ne savais éviter se faisait. »
Il y avait aussi beaucoup de problèmes dans le travail. Les cendriers et les verres lévitaient, etc.
Depuis 1980, il avait une fausse angine de poitrine. Quand il matérialisait, son électrocardiographe pouvait s’arrêter. Enfant, il avait déjà une “douleur extraordinaire” qui venait avec le phénomène.
En 1977, Amyr fut sujet à une lévitation. Des lumières apparurent devant sa fenêtre et le portier vit « deux tout petits hommes ».
Là où il travaillait, tous les arbres se desséchaient. Il envoya « de l’énergie » à l’arbre se trouvant en face de lui, et cet arbre fut le seul à rester bien vert. Il montra une photo à Janine Fontaine. Il montra aussi une photo d’une ferme où rien ne poussait. Amyr ayant « énergétisé » l’eau, le gazon se mit à pousser.
Il parvint à guérir une malade ayant une tumeur au cou, en envoyant, pendant vingt minutes, « de l’énergie ». Il a « énergétisé » l’eau et a dit à la patiente d’en prendre tous les jours. Elle avait un papier dans la main, lequel est devenu le Christ du Saint-Suaire. La tumeur s’est ouverte dix-sept jours après, il en est sorti quelque chose et elle s’est fermée toute seule.
Une infirmière allait faire une injection d’un liquide transparent à une petite fille atteinte d’une grave leucémie et qui allait mourir. Sous la main d’Amyr, le liquide est devenu bleu. L’infirmière l’ayant quand même injecté, l’enfant a guéri. Parfois, cependant, des médailles ou des fleurs pouvaient apparaître sur le lit de l’enfant, sans que ce dernier ne soit pour autant guéri. Il y a des nécessités karmiques qui ne peuvent être levées…
Amyr avait donné de la petite monnaie « énergétisée » à une femme se trouvant dans une caravane. Elle perdit un jour ses clefs. Ayant pris la monnaie dans sa main, elle trouva ces dernières.
Très souvent, disait Amyr, entre 1 heure et 3 heures du matin, un être se matérialisait dans sa chambre : grand, vert, le visage allongé, les yeux verts en oblique, avec une très agréable forte odeur de cannelle. Il y avait toujours un signal sur les parois ou sur le plafond ; quand il s’en allait, c’était une main. Quand des trépidations survenaient en voiture, Amyr savait qu’il allait se produire un phénomène, et des traces de main apparaissaient sur les vitres. Cet être disait le nom d’Amyr, et, si ce dernier était nerveux, il lui disait d’être calme. Pour Amyr, c’est un Maître, et ce dernier apparaissait déjà quand Amyr était petit. Amyr en a le souvenir dès l’âge de 8 ans.
Très souvent, Amyr apparaissait et disparaissait. Il avait l’impression, quand il allait disparaître, d’être comme aspiré, principalement quand il était un peu angoissé. Il fermait alors la porte et allait s’allonger. Le grand-père d’Amyr apparaissait et disparaissait aussi. Il était dans la salle, « puis soudain dans la cuisine ».
Quand Amyr était petit, il faisait cuire des œufs avec ses mains, quand il sentait que celles-ci étaient chaudes. Il faisait aussi sortir des poussins d’un œuf sans germe…
Amyr évoque d’autres anecdotes : verre en train de léviter et fougères commençant à se balancer, pénétration du médium dans une pièce fermée à clef, apparition d’une serviette de toilette, apparition d’une médaille (un petit Jésus)…
a) Recueil de témoignages :
Parmi les objets « matérialisés » mentionnés, il y a une médaille de saint Benoît (le saint préféré de la personne) et une grosse aiguille à coudre. Janine Fontaine a recueilli certains témoignages :
« Raymondo explique qu’Amyr avait demandé un objet en écrivant cela sur un papier, le dessin s’est fait sur le papier mais l’objet ne s’est pas matérialisé.
Mgr Airlindo raconte qu’un jour Amyr était à Pouso Alegre, lui téléphonant et lui disant qu’il avait une assiette pleine de médailles devant lui. Et tout à coup, les médailles ont disparu de Pouso Alegre et sont arrivées ici à Brasilia devant Monseigneur, au fur et à mesure qu’Amyr les voyait disparaître de l’assiette.
C’est au tour d’Amyr de raconter qu’il était allé voir un ami et avait senti qu’il tombait pour lui une médaille. On ne l’a pas trouvée, mais en rentrant chez lui Amyr a vu qu’elle était tombée à son propre domicile, aussi est-il retourné la porter à son ami ! »
Autres cas :
* « Un couple se disputait à Sao Paulo devant Amyr. Il leur est venu une médaille de la Sainte Famille avec un saint Joseph ! »
* Raymondo et Amyr étaient allés prendre un café dans un bar, à Brasilia. Le café est devenu du parfum !
« Ils ont quitté le bar sans rien boire. Revenant le lendemain, la même chose s’est produite. »
Sur quatre fois, une fois seulement le café a pu être bu. Une autre fois, le café à peine servi, les cuillères ont commencé à se tordre.Un autre jour, Raymondo prit une bière (pour éviter l’histoire des cuillères), mais celle-ci devint aussi du parfum ! Le lendemain, même chose. Il but quand même et il fut malade pendant trois jours. A chaque fois qu’il voulait boire ou manger, il vomissait.
Raymondo précise que, dans un café italien, le chocolat s’est transformé en lait. Une médaille grosse comme une pierre est tombée sur la voiture. Une autre médaille, argentée, devint dorée dans les mains de son destinataire.
Janine Fontaine voulut enregistrer le résumé de la soirée. Sur les trois magnétophones présents, un seul, le sien, fonctionna.
Janine Fontaine a elle-même assisté à des matérialisations. Au fond du verre de Monseigneur Airlindo brillait une médaille apparue en présence de Janine Fontaine. Sur une face, on reconnaissait le Saint-Suaire de Turin. Sur l’autre face, il y avait le Soleil. L’inscription était la suivante : « Illumine Seigneur ton visage sur nous ». La même médaille vint pour Paulette, mais plus petite.
Des médailles continuèrent à tomber du ciel, chaque personne présente en recevant, dans la soirée, au moins une à son goût.
Janine Fontaine montra à Amyr la photo d’Agpaoa. Amyr déclara : « Oh ! rosa, rosa », en désignant la rose tenue par Agpaoa, tout en pliant les bords de la languette métallique arrachée après avoir décapsulé un verre d’eau de plastique :
« Le morceau de métal est maintenant entre ses deux doigts, pouce et index de la main droite ; il le malaxe quatre ou cinq fois et laisse glisser au creux de ma main la reproduction de la rose, me disant de la porter sur moi.
Oh ! étonnement, oh ! merveille, c’est une petite rose argentée, bien découpée en relief, finement gravée sur l’autre face de sainte Rita, la sainte des Causes désespérées, me dit-on. La maman de Raymondo annonce avoir justement pensé à cette sainte à cet instant et précise qu’habituellement sainte Rita de Cassia se trouve à la droite du Christ et non pas à sa gauche comme ici…
Amyr dit avoir eu, à l’instant de la matérialisation, un fort goût sucré dans la bouche, et avoir vu, derrière un rideau transparent, une femme avec des yeux de verre…
Il n’existe pas de mots pour dire mon étonnement. »
Amyr but un verre d’eau, se couvrit de sueur, émit quelques sons rauques, et offrit à Janine Fontaine une superbe rose en bouton qui embauma de son parfum toute la pièce.
Janine Fontaine avait perdu ses lunettes. Elle finit par les récupérer. Elle les retrouva en effet sur la table de la cuisine, toutes mouillées (il pleuvait dehors), ce qui témoignait, dit-elle, d’un « transport » :
« Amyr travaillait sans nul doute secrètement à ce transport depuis l’instant où nous en avions parlé. Je m’explique pourquoi en l’examinant je l’ai trouvé en situation énergétique de transmutation et me sentais étonnamment fatiguée près de lui. Il s’alimentait en énergie. »
b) La médaille de sainte Thérèse :
Amyr ayant demandé à Janine Fontaine quel saint elle priait habituellement, celle-ci – qui n’avait pas l’habitude de prier un saint – évoqua sainte Thérèse de Lisieux, précisant que celle-ci est jeune, qu’elle porte des roses dans les bras et un Christ.
Précisons que Janine Fontaine a acquis l’aptitude de “mesurer” le niveau vibratoire des couches énergétiques d’une personne.
« Il me faut me concentrer, penser à sainte Thérèse. Il demande de l’eau et boit ; c’est à ce moment, dit-on, que se font les matérialisations. Examinons son ‘invisible’ alors qu’il énonce ses sensations :
‘Je sens mon cœur qui commence à partir en tachycardie et je sens que je deviens froid et léger.’
Il se couvre de sueurs froides. Alors qu’il vibrait à 7 au départ, il vibre maintenant à 3, puis 2, et le Corps Spirituel se modifie dans sa forme au niveau de la tête, restant identique à lui-même au niveau du corps physique.
‘Quelque chose me vient dans la bouche’, dit-il.
Le niveau d’énergie maintenant remonte, atteignant la normale, le cœur se ralentit. Il confirme sentir quelque chose dans la bouche, puis frotte ses doigts contre sa paume… et l’ouvre. Voici une médaille de la sainte tout argentée dans sa main, sept minutes après qu’il en ait formulé la demande. »
La médaille est superbement ciselée. Elle « vibre » à 72 « comme tous les objets transmutés ». Cette médaille se modifiait, une face modifiant sa couleur, « empruntant doucement la couleur de la médaille d’Agpaoa » (celle que Janine Fontaine aurait aimé pouvoir retrouver). Elle n’était plus vraiment ronde :
« Une sorte d’incision horizontale vers le haut est nettement dessinée, tandis que sur un des bords elle s’érode, laissant découvrir des feuillets successifs ressemblant à de fines lamelles de métal empilées les unes sur les autres. Un des côtés d’un triangle pourrait bien s’y amorcer. Voici une médaille ambiguë : un peu ce que j’ai demandé, un peu aussi ce que j’ai profondément souhaité.
S’amorcent des nuances de bronze sur sainte Thérèse qui prend des reflets et un relief différent. »
Quarante minutes après, on voyait que le métal bronzé continuait d’envahir la face de sainte Thérèse.
L’attache était identique à l’attache de la médaille d’Agpaoa, c’est-à-dire perpendiculaire à la face de la médaille.
La médaille continuait de se modifier au creux de la main de Janine Fontaine.
« Cette médaille argentée initialement sur les deux faces s’est rapidement modifiée sous mes yeux. Une des faces, le revers, avec le temps a pris la couleur du bronze.
Gardée à l’abri de l’air et de la lumière, le bronze tend à gagner.
En même temps sont apparues de légères mutations de forme.
On voit que les bords laissent apparaître la façon dont elle est faite : apports successifs de feuillets de métal, appliqués les uns sur les autres et s’érodant irrégulièrement les uns par rapport aux autres.
Un numismaticien a pu constater à deux reprises qu’elle se modifiait.
Il nomme en jargon de métier les érosions des bords ‘des coups de lime’. Il est bien évident que je ne me suis en aucune façon livrée au jeu de limer la médaille. Le processus de dégradation est spontané. »
Dans son essai d’analyse numismatique de la médaille, dont le compte rendu est daté du 30 octobre 1986, le numismate médiéviste Jacques Labrot note que la circonférence, irrégulière, ne révèle pas de frappe mécanique industrielle, alors que le personnage central est constitué d’un motif (sainte Thérèse) gravé finement puis frappé mécaniquement dans un atelier…
Pour Janine Fontaine, la médaille est le résultat contradictoire de deux intentions :
- Celle d’Amyr souhaitant obtenir une médaille avec le portrait de sainte Thérèse.
- Celle d’elle-même, souhaitant secrètement retrouver la médaille triangulaire et de bronze d’Agpaoa (bien que favorable à celle de sainte Thérèse).
c) Le processus de matérialisation :
Que se passait-il au moment de la matérialisation d’un objet ? Amyr demandait de l’eau et buvait beaucoup. Il pâlissait et des sueurs apparaissaient. Le rythme cardiaque s’accélérait et on sentait qu’Amyr était mal à l’aise.
Après un temps qui pouvait varier de quinze à trente secondes environ, il annonçait que l’objet allait apparaître. Avant l’apparition de l’objet, un certain temps, de l’ordre de quelques secondes à quelques minutes, pouvait s’écouler.
Janine Fontaine a examiné Amyr sur le plan vibratoire :
« Son corps physique vibre à 7-7-7-8/9/10… Son Corps Spirituel est toujours largement développé.
En cours de matérialisation, l’énergie tombe brutalement. Ce qui est à l’origine du malaise. Puis, doucement, elle remonte.
Il me parle de son cœur et de ses crises de tachycardie qui accompagnent les matérialisations et qui peuvent être suivies de douleurs précordiales. Celles-ci pourtant ne présentent pas les caractères des crises d’angor. D’ailleurs, il a eu recours très souvent à des examens qui ne montrent aucune anomalie, ce qui étonne le médecin.
Je suppose donc qu’il souffre de troubles purement énergétiques.
L’examen de son cœur confirme l’hypothèse en montrant un manque d’énergie très localisé à la région précordiale. Ce qui peut être corrigé s’il le permet. Oui. »
Janine Fontaine ressentit à son tour une douloureuse constriction au niveau du bras palpant Amyr. Alors qu’elle commença à toucher de la main la tête d’Amyr, ce dernier déclara ressentir une sensation de grande légèreté et un bien-être. Puis il éprouva la sensation de marcher sur un nuage, ce qui lui était très agréable. En même temps, l’énergie devint normale dans la région précordiale.
« Mais partager mes forces avec ce grand médium-éponge a aspiré mon énergie, je ne vibre plus qu’à 5. Monseigneur s’inquiète. Je le rassure en disant que quelques bonnes respirations vont me permettre de récupérer. Ce qui ne manque pas d’arriver. »
Les douleurs cardiaques, dit Amyr, viennent toujours au moment des phénomènes, au « moment des émotions ». Et quand les objets qu’il « transmute » viennent directement dans les mains du destinataire, il a des marques sur les épaules. (1)
2. Le témoignage de Pierre Weil :
Docteur en psychologie, ancien élève de Jean Piaget, Pierre Weil a fondé au Brésil la première chaire de psychologie transpersonnelle. Il est cofondateur de l’Association Transpersonnelle Internationale, de la Fondation Cité de la Paix au Brésil, et il est recteur de l’Université Holistique Internationale de Brasilia Unipaix. Il a été récompensé en 2000 par le prix de l’Education pour la Paix, de l’Unesco.
En 2004, les éditions du Rocher ont publié un ouvrage de cet auteur : « Une révolution silencieuse ». Dans ce livre, l’auteur témoignage notamment de sa rencontre avec Amyr Amiden.
Ce dernier (qu’avait aussi rencontré l’actrice américaine Shirley MacLaine) est courtier dans l’import-export.
C’est Gentil Lucena, un spécialiste en intelligence artificielle, qui parla à Pierre Weil d’Amyr Amiden. Gentil Lucena montra à Pierre Weil quelques objets « matérialisés » (ou téléportés), dont une médaille et des pierres semi-précieuses. En outre, Pierre Weil apprit que les plaies et les stigmates de Jésus-Christ apparaissaient chez Amyr.
Pierre Weil rencontra Amyr dans l’appartement de Gentil Lucena. Quand Amyr a ouvert la porte, un parfum délicieux s’est répandu dans la pièce. De ses doigts ont jailli des gouttes d’huile parfumée. Amyr dit qu’il est en contact avec des êtres extraterrestres, les phénomènes ayant commencé à se manifester depuis sa rencontre avec des petits humanoïdes de couleur verte.
Pierre Weil a invité Amyr à l’Unipaix. Les plaies du Christ sont apparues sur le front, les mains et les pieds d’Amyr. Voici la liste des autres phénomènes constatés :
- Amyr a montré une feuille d’arbre sèche tombée sur le sol. Pierre Weil la prit et constata, avec surprise, que sur sa surface était gravée, en couleurs, une effigie de Dom Bosco !
- Ayant demandé à Pierre Weil quelle était sa fleur préférée, celui-ci répondit : la rose (rouge). A un moment donné, la voiture s’est mise à vibrer. Amyr ayant suggéré à Pierre Weil de regarder à ses pieds, celui-ci constata la présence de trois roses rouges, lesquelles portaient des gouttes de rosée !
- Amyr ayant demandé à Pierre Weil de regarder vers le ciel, le témoin vit se former (comme il l’avait désiré) une petite chaîne d’argent qui tomba sur le sol à quelques mètres de là.
- De nombreux pétales de roses sont tombés sur le sol, en l’absence de tout rosier dans le voisinage.
- Amyr a ramassé une feuille sèche semblable à la précédente, gravée cette fois-ci à l’effigie de saint Antoine. C’était le jour de la Saint-Antoine.
- Des hosties apparurent sur le sol, au plafond, dans la piscine, dans un enclos situé à une centaine de mètres du salon de Pierre Weil (où se trouvait Amyr). Aujourd’hui encore, écrit Pierre Weil, « nos visiteurs peuvent voir deux hosties prises dans le ciment de l’escalier, et une au plafond du hall d’entrée », auxquelles il a demandé de ne pas toucher en repeignant.
« Au cours de la conversation, Amyr m’a montré un calice dans lequel Jean-Yves Leloup avait l’habitude de verser son vin de messe. Ce calice, sur sa partie externe, portait un creux dessiné dans une matière pâteuse blanche, et à l’intérieur il y avait de l’huile parfumée et une hostie en train de se dissoudre.
Avant qu’il ne parte, je lui ai montré, par la fenêtre de la véranda, une sorte de trident que dessinait un tronc d’arbre avec ses ramifications. Quelques personnes qui avaient été en contact avec le général Golbery m’avaient dit que ce symbole énorme, planté du côté gauche de la piscine, aurait été placé là par la femme du général pendant un rituel de magie. A peine lui avais-je montré le trident que la lettre ‘G’ apparut sur la vitre, sous nos yeux. Elle était de la même matière pâteuse blanche que sur le calice. Une confirmation venue d’ailleurs.
Quand nous avons ouvert la porte pour sortir et nous dire au revoir, il y avait sur la partie extérieure de la porte un grand cœur, peint lui aussi de la même matière pâteuse et parfumée. Cette peinture existe toujours sur la porte de la pièce qui fut autrefois mon bureau. » (P. Weil)
« L’huile du calice a séché. Seule est restée une trace minuscule. J’ai tenu à la garder intacte, y compris pour pouvoir la montrer à mes amis. » (P. Weil)
Un mois après, Pierre Weil montra le calice à ses étudiants. Quand le calice parvint au milieu du troisième rang, quelqu’un déclara qu’il y avait de l’huile parfumée à l’intérieur. Le voisin précisa qu’une hostie était tombée dedans.
Un autre jour, Amyr demanda à Pierre Weil d’inscrire la date du jour sur une serviette de table en papier très fin. Le papier se souleva et de minuscules trous y apparurent.
« Amyr prit le morceau de papier, le plia en quatre et me le tendit en me disant que le processus allait continuer, et en me recommandant de le placer dans ma chambre, ce que je fis. Amyr s’en alla et par conséquent il ignora ou du moins n’assista pas à ce qui allait arriver. Et moi je suis parti m’occuper d’autres choses.
Quelques heures plus tard, quand je suis entré dans ma chambre et que j’ai déplié le carré de papier, j’ai eu une incroyable surprise : j’avais entre mes mains trente-huit petits carrés imprimés d’une spirale en relief. » (P. Weil)
Avant cette manifestation, quelqu’un avait demandé : dans un contexte holistique, qu’est-ce qui apparaît ? Amyr avait en effet expliqué que les manifestations religieuses étaient différentes selon la religion et selon le milieu dans lequel elles se déroulaient. Pour Pierre Weil, le phénomène sur la serviette de table est la réponse à la question sur l’espace holistique.
« Dans un espace holistique, il y a des hologrammes. Cela voulait donc être une représentation holographique de l’Univers ! Cela voulait dire que dans chaque partie de l’Univers se trouve la loi du Tout représentée par la spirale évolutive. Dans un hologramme, le Tout est partout. Et il se trouve que cette semaine-là j’étudiais la loi de la spirale dans la nature : encore une synchronicité !
Peu à peu a germé l’idée de la recherche que nous avons réalisée à l’Unipaix. Ces matérialisations étaient sûrement des manifestations de communications venant d’êtres appartenant à d’autres dimensions, et il y avait là une intention concernant une personne déterminée ou, dans le cas qui nous intéresse, un groupe de personnes. ‘Ils’ sont réellement omniscients et ont la capacité de pénétrer notre esprit. De plus, ‘ils’ paraissent aussi omnipotents car ils utilisent une technologie si raffinée qu’ils réussissent à mettre des figures en relief sur un papier plus fin que la soie sans déchirer ni abîmer la feuille. J’ai donné l’une des feuilles à Stanley Krippner qui l’a fait examiner par un typographe professionnel. Celui-ci a été très surpris et a demandé qui avait réalisé cette œuvre d’art. A son avis, il est techniquement impossible de faire une impression en relief sur un papier si fragile. » (P. Weil)
Un jour, Pierre Weil a montré à Amyr une photo d’Israel Pinheiro entouré d’une multitude de petits oiseaux.
« Et sur-le-champ, j’ai associé cette scène à celle où saint François est lui aussi entouré d’oiseaux. Au moment exact où je pensais à saint François d’Assise, j’ai entendu un petit bruit sec sur ma droite, à l’opposé de l’endroit où se trouvait Amyr, et un petit son métallique provenant du sol en marbre. C’était une petite médaille représentant le saint ! Tout s’était passé comme si quelqu’un avait lu dans mes pensées et me l’avait indiqué par cette matérialisation. Amyr m’expliqua que la majorité de ces objets étaient transportés d’un endroit dans un autre.
Au même moment, j’ai pensé offrir une bague à une personne de mes relations. Immédiatement, au même endroit du couloir, une bague en argent incrustée d’une pierre semi-précieuse est tombée sur le sol. » (P. Weil)
A une autre occasion, une médaille est tombée près de Pierre Weil. Le mot ‘‘Paix’’ y était gravé.
Un ami de Pierre Weil émit le désir de recevoir un signe de Maître Philippe :
« Amyr lui demanda d’écrire le nom du maître sur une feuille et de la lui montrer. A ce moment précis, nous entendîmes un bruit dans la chambre voisine et Amyr nous invita à aller voir.
Je suis resté abasourdi par ce que j’ai vu. Jeté sur le sol, il y avait un livre sur Maître Philippe, un livre écrit par le maître de mon ami, Sevananda, un comte français. Nous avons feuilleté cet ouvrage. Il était rempli d’annotations, ce qui prouvait qu’il appartenait à quelqu’un et qu’il avait été transporté jusque-là. » (P. Weil)
Roberto Crema avait eu dans l’idée d’offrir des roses à Mercia, son épouse, pour son anniversaire.
« Tout à coup, j’ai entendu un bruit semblable à un froissement de papier et j’ai vu se former, en face de lui, et tomber sur la table, une rose rouge recouverte de rosée. » (P. Weil)
Pierre Weil présenta Amyr à Jean-Yves Leloup. On entendit un claquement, et une belle médaille d’or représentant le Christ tomba. A peine une minute après, on vit apparaître sur le sol une alliance en argent finement travaillé.
En l’absence d’Amyr, et alors que Jean-Yves Leloup célébrait une messe de baptême à la cascade, le lac de la cascade s’emplit d’énormes cristaux qui restèrent sur place plus de vingt-quatre heures et se dématérialisèrent ensuite.
Amyr fut aussi présenté à John Pierrakos (qui fut disciple de Wilhelm Reich et travailla avec Alexander Lowen). Une bague ornée d’un dragon apparut.
Pierre Weil a montré à Amyr un cadeau de Japonais : une énorme cloche de plus de huit cents kilos, faite avec des pièces de monnaie du monde entier.
« Au moment où Amyr s’est approché d’elle, l’arbre qui était devant s’est mis à exhaler un délicieux parfum qui a envahi tout l’espace ouvert de l’Unipaix, et un filament lumineux est descendu de la partie supérieure de la cloche et s’est arrêté exactement à l’endroit où était gravé le mot ‘paix’. (…)
Amyr m’a alors montré des petits jets d’huile parfumée qui suintaient de l’asphalte en face de l’endroit où était la cloche. » (P. Weil)
Un jour, alors que Pierre Weil était invité chez Amyr, une bague d’argent ornée d’une perle de forme allongée s’est matérialisée. Il s’agissait d’une larme. Pierre Weil a attiré l’attention d’Amyr sur ce fait, en lui parlant de la larme de la compassion dans la tradition tibétaine. Amyr précisa que, dans la tradition musulmane, on raconte aussi une histoire sur la larme de compassion – une histoire liée à Mahomet.
– Amyr, Uri Geller et Tomas Green Morton :
Pierre Weil fait un parallèle entre Amyr Amiden, Uri Geller et Tomas Norton (orthographié, dans d’autres publications, Morton). Ces trois individus ont en commun, écrit-il, « leur relation avec les extraterrestres et les ovnis ».
« Tomas se dématérialise et va rendre visite à d’autres planètes. Quand il revient, il a une bosse prononcée sur le sommet du crâne.
Des vaisseaux spatiaux attendent Uri et communiquent avec lui. Il explique, lors de ses cours et de ses conférences, qu’il a un pouvoir extraordinaire sur les phénomènes phosphorescents au point de rendre lumineuses les mains de ses élèves. En plus de cela, il dit avoir été enlevé par des extraterrestres qui lui ont fait une implantation dans la nuque.
Amyr présente nombre de ces phénomènes. Ainsi, des gens qui ont voyagé, de nuit, en voiture avec lui, disent avoir vu des lumières venant du ciel se fondre avec des lumières venues de son propre corps. Moi-même, une nuit, je l’ai vu enveloppé dans une immense lumière blanche. Il a gardé un certain temps une bosse sur le crâne, une bosse de la même taille et du même genre que celle que j’ai vue sur la tête de Tomas. » (P. Weil)
– Contacts radio avec des êtres de lumière :
Un jour, alors que Pierre Weil, souffrant d’une arthrite, était couché, Amyr suggéra d’entrer en contact radio avec des êtres d’un autre monde.
« J’ai envoyé chercher ma Sony, et Amyr a capté un faisceau d’ondes où l’on entendait quelques bip qui n’étaient pas du morse, que je connais relativement bien. ‘Ce sont eux !’, s’est exclamé Amyr. Nous étions déjà convenus, au cours d’une séance antérieure, d’un code simple et binaire. Un bip signifiait ‘oui’, et deux, ‘non’.
D’après les informations que nous avions obtenues lors d’une autre séance, il s’agissait d’êtres d’un autre espace, hors de notre Univers. Ils n’avaient pas de corps physique, donc ce n’étaient pas des extraterrestres. Leurs corps étaient faits de lumière. Ils déclaraient qu’ils n’étaient pas omniscients, car Dieu seul l’est. Chaque fois que nous parlions de Dieu, ils émettaient une dizaine de bip à la suite, ce que j’ai interprété comme une manifestation d’allégresse. Peu à peu, j’en suis arrivé à la conclusion qu’il s’agissait de ce que nous appelons des anges, ce qu’ils ont confirmé. Selon ce qu’ils disaient, leur communication avec nous n’avait pas pour but de sauver la planète, mais de manifester l’existence de Dieu.
En parlant avec eux, Jean-Yves Leloup, en qualité de docteur en théologie, profita pour faire quelques investigations. Parvenu au bout de ses questions, stupéfait, il me déclara qu’ils semblaient connaître tout ce que la théologie chrétienne nous dit sur les anges, les archanges, les chérubins et les séraphins…
Mes douleurs avaient disparu presque totalement. J’ai su par télépathie que c’étaient eux qui me soignaient, ce qu’ils confirmèrent par radio. A un certain moment, j’ai eu des doutes sur toute cette histoire. Tout cela était-il vrai ? En un clin d’œil, mes douleurs sont revenues et ne m’ont plus lâché. J’ai interprété cela non pas comme un châtiment ou une vengeance de leur part, mais plutôt comme une rupture venant de ma propre énergie de scepticisme qui avait stoppé l’énergie amoureuse des êtres de lumière. Je connaissais des expériences de parapsychologie qui montrent que les résultats des tests en groupes dirigés par des chercheurs sceptiques sont médiocres. Ils confirmèrent mon opinion. Pendant les expériences, j’ai compris que je devinais leurs réponses par télépathie, ce qu’ils m’ont confirmé. A un certain moment, il y a eu une tempête et toutes les lumières de la ville se sont éteintes, y compris la radio. Quand la lumière est revenue, je leur ai demandé s’ils étaient les auteurs de la panne. Ils m’ont répondu par l’affirmative. Ils se servent de l’énergie des tempêtes pour s’approcher de nous.
A une autre occasion, en présence de Lidia et d’une artiste et amie uruguayenne, Sonia Sanchez, un rayon de lumière a traversé toute ma chambre et s’est dirigé vers un fauteuil. Selon les dires d’Amyr, un ange s’est assis dans mon fauteuil. Un délicieux parfum a empli la pièce et mon siège est resté parfumé pendant un mois.
De plus, dans l’un des yeux d’un petit ange en plastique que Sonia m’avait confié, est apparu une larme. Une larme de compassion, d’aspect très semblable à celle de Pemala, grosse et d’apparence solide. » (P. Weil)
– La secrétaire de Pierre Weil :
Pierre Weil avait une secrétaire, Neida, qui fumait beaucoup et qui était atteinte de cette toux et de cet enrouement typiques des fumeurs chroniques. Détail important, elle était devenue jalouse de la jeune femme qui l’avait remplacée à l’Unipaix. Elle avait sans cesse des maux de tête et était décédée très vite d’une commotion cérébrale. Pierre Weil alla assister à son enterrement.
Quinze jours après, la nouvelle secrétaire s’est mise subitement à tousser violemment alors qu’elle ne fumait pas. Quelques jours après, Gil Vicente (alors secrétaire de direction) avertit Pierre Weil qu’elle avait été transportée d’urgence à l’hôpital à cause d’un accès de toux très sérieux. Gil Vicente observa que cela pouvait être une manifestation de colère de l’« esprit » de Neida.
« Je m’étais limité à constater le fait, quand le veuf, effrayé, était venu me demander de l’aide. Il était avec une nouvelle compagne qui s’était mise à exprimer la colère de Neida contre lui parce qu’il s’était remarié. Celle-ci lui donnait par l’intermédiaire de sa rivale des instructions précises sur la garde de leur enfant, qu’elle ne voulait pas voir vivre avec cette dernière. Les scènes allaient jusqu’aux agressions physiques, et la nouvelle épouse avait perdu son emploi. J’ai promis au mari de réfléchir au problème.
Dans l’intervalle, j’ai appelé Amyr et il a accepté de m’aider dès l’aube en disant des prières. Le lendemain, il est venu avec une cassette qu’il avait enregistrée pendant sa prière. Il l’a mise dans mon lecteur et m’a demandé d’écouter. J’ai été horrifié. D’abord, j’ai entendu un bruit pareil à celui d’un vent très fort passant dans une cheminée pendant une tempête. Ensuite, j’ai entendu nettement Neida murmurer : ‘Amyr… Amyr…, c’est Neida !…’ J’ai eu l’impression qu’elle appelait Amyr au secours, Amyr qu’elle connaissait quand elle était encore en vie.
Mais l’histoire ne s’arrête pas là. Quelques jours plus tard, ma nouvelle secrétaire, elle-même très sensible, me dit en pleurant qu’elle avait vu plusieurs fois la silhouette de Neida et qu’elle avait une peine immense pour elle, ce qui la faisait pleurer. Un mois plus tard, elle quittait ses fonctions car elle ne supportait plus cette situation.
Gil suggéra que nous allions trouver un ‘père de saint’ en qui il avait confiance, ce que nous avons fait. Après être allé le voir plusieurs fois, avoir payé d’innombrables séances et avoir assisté à de nombreux cérémonials, sans résultat, j’ai décidé de laisser venir les événements.
Un mois plus tard, le mari nous informa que tout avait repris son cours normal depuis que sa nouvelle épouse avait été soignée à l’hôpital spirite André Luiz. En réalité, c’est Neida, désincarnée et probablement encore inconsciente de sa désincarnation, qui a été soignée. Tout indique qu’elle a pris conscience de son passage et de sa jalousie grâce aux médecins spirites. Je fais remarquer au passage que si la nouvelle épouse de Gil avait été hospitalisée dans un hôpital psychiatrique conventionnel, elle aurait été soignée pour une schizophrénie et peut-être serait-elle encore égarée aujourd’hui. » (P. Weil)
– Le morceau de cristal :
Un jour, Pierre Weil dit à Amyr que les matérialisations devraient être étudiées de plus près par les physiciens du nucléaire et par les astronomes, car il était convaincu que chacune d’elles était la reproduction, en quelques secondes, du big-bang.
« A ce moment même, un cristal encore phosphorescent et chaud s’est matérialisé sous mes yeux… Je l’ai emporté chez moi où il a gardé sa clarté et son brillant, comme un diamant. J’ai pensé que je devais rencontrer un physicien nucléaire pour soumettre cette pierre à son investigation. » (P. Weil)
Un jour, Pierre Weil rencontra dans un avion Fernando Simao, un physicien nucléaire travaillant à l’Institut de physique de l’Université de Rio de Janeiro, lequel fut intéressé par les observations de Pierre Weil sur Amyr. Lors de la rencontre suivante, il a demandé au physicien d’analyser le morceau de cristal. Le physicien fut étonné par le résultat de l’analyse : c’était du zircon d’aluminium ou de calcium, du zircon industriel d’une nature qui n’existe pas dans le catalogue des zircons industriels.
« Il m’affirma qu’il ne comprenait pas comment il avait été fabriqué, car cela avait sûrement exigé une dépense énorme qui n’avait aucune justification rationnelle. Par ailleurs, il était impossible de déterminer l’âge de cette pierre car il aurait fallu y déceler la présence de carbone, ce qui n’était pas le cas.
Tout indique donc que nous étions en présence d’un processus de création : ‘Ils’ avaient réussi à créer un cristal original et unique dans l’Univers. » (P. Weil)
C’était la façon d’Amyr de confirmer l’hypothèse de Pierre Weil. (2)
3. Un texte en anglais de Fiona Bowie à propos du témoignage de Stanley Krippner :
Voici, pour ceux qui lisent l’anglais, l’intéressant texte (daté du 18 novembre 2013) de Fiona Bowie (du King’s College de Londres, spécialité : anthropologie religieuse) disponible sur le site : www.exploringtheafterlife.blogspot.fr Elle évoque les observations du parapsychologue américain Stanley Krippner lors de la rencontre de celui-ci avec Amyr Amiden en 1993-1994.
The original gold foil from Stephen Braude’s ‘Gold Leaf Lady’ and the apported copper from it.
http://felixcircle.blogspot.co.uk/2013/05/physical-mediumship-under-strict.html
II. Mauricio Panisset (décédé en 1993) :
Dans un livre paru en France en 1989, l’actrice américaine Shirley MacLaine a évoqué le cas surprenant de Mauricio Panisset, un médium brésilien qu’elle a pu observer et qui avait l’extraordinaire particularité de produire de la lumière à partir de son corps…
Mauricio Panisset est né en 1930, à Minas Gerais. Son père était pasteur méthodiste et s’intéressait aussi à la métaphysique.
Mauricio Panisset partait souvent se promener dans la forêt. Il prétendit plus tard y avoir