LES GARDIENS, Planète Mars
Un Être parle à travers une cliente à propos de la planète Mars
J : Dans ma vie de tous les jours, je participe à différentes missions sur votre planète et particulièrement dans des expériences dont Janice a fait partie. Elle me connaît bien parce que nous avons travaillé ensemble plus d'une fois. Je connais bien les sciences de la Terre. Comme je vous l'ai dit auparavant, sur Terre je serais considéré comme un docteur en médecine. Et en même temps, dans notre culture, un docteur en médecine fait plus que de la médecine. Dans nos enseignements et nos professions nous incorporons le corps entier, contrairement à une médecine généralisée ou spécialisée. C'est comme si vous alliez voir un spécialiste des reins alors que nous sommes des spécialistes de systèmes. On inclut tous les systèmes, c'est à dire les structures physique, mental, moléculaire et j'en passe ; les structures de la connaissance de la Terre, de la communication, et d'autres facettes du système, tout ceci de façon inter-dimensionnelle.
D : Ça pourrait être très compliqué, vous devez être très intelligent.
J : (modestement) Et bien on pourrait dire que je suis assez complet.
D : Est-ce que vous vivez sur un vaisseau ou est-ce que vous faites l'aller-retour avec votre demeure ?
J : Je fais l'aller-retour avec chez moi et parfois je vis à plein temps sur le vaisseau. Quelquefois, j'ai été assigné à une base, maintenant je fais partie d'un groupe d'énergies de l'espace qui travaille avec Janice.
D : Est-ce que vous travaillez aussi avec d'autres personnes ?
J : Oui, absolument, avec certaines personnes sur votre planète.
D : Je suis curieuse de savoir où est votre maison.
J : Elle n'est pas dans votre galaxie.
D : Mais vous dites que vous faites l'aller-retour, comment faites-vous alors ?
J : Nous allons plus vite que la vitesse de la lumière.
D : On sait ici que la vitesse de la lumière est la vitesse maximale.
J : C'est pour ça que vous ne voyagez pas inter-dimensionnellement.
D : A cause de nos limitations ?
J : C'est ça.
D : Est-ce que vous vivez sur une planète physique ?
J : Oui, on pourrait dire.
D : Est-ce que vous mangez de la nourriture ?
J : Nous avons différents types de nourriture. En fait, dans vos jardins sur Terre, vous mettez des noms sur tout, nous ne le faisons pas nécessairement. Par exemple, nous n'appelons pas un légume « orange » ou « carotte ».
D : Mais est-ce que vous consommez de la nourriture comme nous ?
J : Oui, mais notre nourriture est différente dans sa structure. Nous n'avons pas d'animaux que nous mangeons ; il y a différentes sortes de personne. Comme vos bébés boivent du lait à un moment donné, nos enfants mangent à un certain stade. Quand nous devenons adultes, nous apprenons à manger... Nous ne mangeons pas ce que vous appelez ici de la nourriture.
D : Mais est-ce que vous consommez quelque chose que vous avez besoin de digérer ?
J : Notre système digestif est complètement différent du vôtre mais nous en avons un.
D : Avez-vous un système respiratoire ?
J : Oui.
D : Un système circulatoire ?
J : Seulement dans le sens conventionnel du terme.
D : C'est à dire ?
J : Je veux dire que lorsque nous sommes sur notre planète dans notre galaxie, ce système ne fonctionne pas comme quand nous sommes sur Terre. C'est très différent bi-structurellement, bisystématiquement, ces systèmes marchent de façon différente suivant l'environnement dans lequel nous sommes. A contrario, votre système digestif marche d'une certaine façon et seulement de cette façon.
D : Est-ce que vous voulez dire que vous vous ajustez par rapport au lieu où vous êtes ? Et vous vous ajustez par rapport aux éléments dans l'air ou à la nourriture ?
J : Oui, c'est pourquoi nous pouvons venir sur Terre et ne pas être repérés.
D : Vous voulez dire que vous vivez dans une base ?
J : Ou au milieu de vous.
D : Est-ce que vous n'avez pas dit que l'on vous détecterait ?
J : Seulement par ceux qui connaissent la différence.
D : Vous avez dit préalablement que vos yeux sont différents.
J : Pas pour monsieur tout le monde.
D : Ca veut dire que vous êtes très adaptable.
J : Oui, ceux qui nous reconnaissent ont juste un sentiment rapide, c'est à dire que vous pouvez être dans la rue, dans un restaurant, ou ailleurs et nous croiser. En une seconde, votre système de détection, comme ceux de personnes comme Janice, nous reconnaissent, c'est comme s'ils reconnaissaient quelqu'un de leur famille. Comme une mère qui reconnaîtrait son enfant sans avoir besoin de le voir. Comme ça. Un Terrien pourrait sentir ça sans nécessairement le conscientiser, comme quelqu'un qui dit : « Je connais cette personne. Il y avait quelque chose... »
D : Ca m'est arrivé de sentir ça.
J : Mais les personnes qui sont plus sensibles et qui ont pris des cours de reconnaissance sont capables de le faire sans que ça les affecte. Parce qu'ils acceptent que c’est une réalité. C'est aussi un mélange de deux réalités. Parce qu'ils interagissent de façon inter-dimensionnelle quand ils sont sur Terre. Vous voyez, ça leur est plus facile de l'accepter. Une personne de base ne penserait même pas à participer à plus d'une réalité.
D : C'est vrai. Alors les autres êtres de l'espace n'ont pas cette flexibilité ?
J : Tous ne l'ont pas. Il y a toutes sortes d'êtres de l'espace, d'autres races avec des systèmes différents comme sur votre planète. (….) Il y avait de la vie sur Mars avant la vie sur Terre.
D : Ces civilisations étaient-elles très avancées ?
J : Elles étaient très avancées. A un moment donné - avant les changements atmosphériques - Mars ressemblait beaucoup à votre planète. Mais elle a beaucoup changé au cours d'un événement cataclysmique. La vie, telle que nous la connaissons, fut éradiquée de la planète. Ce qui ne veut pas dire qu'il n'y a plus de vie du tout sur Mars ; elle n'est juste pas visible à vos yeux.
D : De quel événement cataclysmique parlez-vous ?
J : Il y a eu collision entre deux planètes. Les retombées cataclysmiques ont changé l'atmosphère de Mars.
D : Ils se sont éteints à cause de ça ?
J : Ils furent brulés.
D : Quelle sorte d'êtres y vivaient ?
J : Des êtres qui vous ressemblent.
D : Des humains ?
J : Oui, ils étaient plus avancés que vous au niveau physique et physiologique. Leurs sociétés étaient plus avancées que les vôtres. Leurs interactions étaient plus avancées. Il n'y avait pas les guerres et les meurtres que vous avez sur votre planète. Ils étaient plus en paix avec eux-mêmes parce que leur conscience était à un autre niveau. Contrairement à ce qui se passe sur votre planète, sur leur planète ils n'étaient pas la cause de ce qui s'est passé.
D : Y avait-il des villes ?
J : Oui, il y avait des villes dont vous pouvez sans doute voir les restes.
D : On peut voir sur Mars ce qu'on appelle « le visage sur Mars », vous êtes au courant ?
J : Oui, c'est un symbole qui est là pour vous montrer que vous avez été sur Mars, c.à.d. le visage de l'humanité. Un être à votre image.
D : Comment est-ce possible ?
J : Je ne peux vous le dire, je ne sais pas.
D : Est-ce que c'est la race qui vivait là qui a mis ce visage ?
J : Non.
D : Alors ça s'est formé plus tard ?
J : Oui.
D : Mais vous ne savez pas qui l'a mis là ?
J : Je ne sais pas, c'est symbolique.
D : On dit aussi qu'il y avait des pyramides pas loin.
J : Comme je vous l'ai dit, il y avait une civilisation très similaire à la vôtre sur cette planète. Votre planète pourrait devenir un autre Mars dans ce système solaire si vous ne faites pas attention (soupir) ; vous êtes dans une situation très délicate. Les expériences... Il y a des expériences et des projets qui se passent maintenant en fonction de ça.
D : Ils pensent que ça pourrait se passer ici ?
J : Oui.
D : Mais vous dites qu'il y a de la vie sur Mars que nous ne voyons pas.
J : C'est ça.
D : Est-ce que vous pouvez en dire plus ?
J : Oui, ok, je peux vous en dire plus mais... (elle hésita comme si nous passions sur un territoire interdit)
D : Il y a beaucoup de scientifiques qui voudraient en savoir plus.
J : Oui, c'est que... (pause et hésitation) il faut que j’ai l'accord pour parler de ça, je ne sens pas que je puisse le faire sans permission.
D : Je ne veux pas vous mettre en situation délicate ; si c'est possible de savoir, j'aurais bien aimé.
J : Je peux vous dire qu'il y a une civilisation sur Mars.
D : Vraiment ? Je pensais à un style de vie primitif, très rustique ; est-ce qu'ils sont plus avancés que ça ?
J : Il y a une civilisation composée de colonies. Il y a des projets en route. Me croiriez-vous si je vous disais qu'il y a un comptable et sa famille qui vit sur Mars ?
D : Je crois que tout est possible. Il aurait besoin d'une atmosphère et de conditions qui lui conviennent.
J : En effet.
D : Je présume que Mars n'a pas d'atmosphère qui nous permettrait d'y vivre.
J : Pas tels que vos systèmes sont conçus actuellement. Ce serait impossible de vivre à la surface de Mars comme vous vivez maintenant à la surface de la Terre.
D : Il n'y a pas de villes sur la surface de la planète, c'est ça ?
J : C'est ça.
D : Est-ce que ce sont des rescapés de la civilisation qui a été brûlée lors du cataclysme ?
J : Certains oui, d'autres non.
D : Donc il y en a qui ont survécu ?
J : Oui, c'est ça.
D : Est-ce que le comptable y est allé de son propre chef ?
J : Absolument ! (retentissant)
D : Ca a dû être une aventure incroyable, il aura fallu qu'il abandonne tout derrière lui.
J : C'est ce qu'il a fait.
D : J'ai entendu dire que ce pouvait être difficile à un humain de s'adapter, parce que tout est tellement différent.
J : Pas dans une atmosphère contrôlée environnementalement.
D : C'est intéressant. Savez-vous que nous sommes sur le point d'envoyer... en fait on a déjà envoyé non ? Une sonde ? Et on a pris des photos.
J : Vous, les Américains, vous allez dans toutes sortes de directions dans l'espace. Peut-être serait-il plus judicieux de vous concentrer sur un projet jusqu'à ce que vous l'ayez complété, et ensuite en suivre un autre.
D : Je crois que les Américains sont prêts à mettre une base sur Mars, n'est-ce pas ?
J : Oh, oui, ça se passera sans doute.
D : Vous pensez que ça se passera dans notre vie ?
J : Oui, je crois.
D : Je me demande ce qu’il se passerait s'ils allaient là-bas et trouvaient des êtres vivants ?
J : Ils ne les verraient pas. Ils ne les ont pas vus. Ils ne pourraient pas. Ils ne le sauront pas avant longtemps. Les habitants de Mars le sauront mais les Américains, les Français et les Russes ne le sauront pas.
D : Je crois que ça serait un choc s'ils voyaient qu'il y a d'autres êtres quand ils atterriraient.
J : Et bien on ne peut atterrir dans votre pays sans être choqué, et de la même façon vous ne pouvez aller dans un autre pays sans être choqué. Parce que votre conscience ne peut pas… le point d'équilibre, les limitations du cerveau humain.
D : Donc, s'il y a de la vie sur Mars...
J : Il y en a mais pas comme vous le croyez. Vous ne savez regarder la végétation que d'une façon primaire : la végétation a des feuilles et elle est verte ; la végétation telle qu'elle existe sur mars n'est pas visible pour un humain. Vous ne voyez la végétation qu'avec votre perspective, mais d'autres êtres pourraient aller sur Mars et la voir car ils ont un cadre de référence différent.
D : Est-ce qu'on pourrait faire la différence si on l'examinait bien ?
J : Non, parce que c'est juste différent. La structure étant différente de celle que vous connaissez, vous ne l’appelleriez pas comme ça.
D : Je crois que les photos ne montrent que des rochers.
J : Oui, parce que pour vous ce ne sont que des rochers. Il y a des différences dans les rochers. Parce que nous connaissons les rochers, nous pouvons les différencier ; vous, vous ne le pouvez pas.
D : Et que pouvez-vous dire d'autres types de vie ?
J : Je pense en avoir déjà parlé avec vous.
D : Je pensais à la surface de Mars, comme les animaux, les insectes...
J : Il y a de la végétation mais il n'y a pas d'animaux à la surface de Mars.
D : Ils sont sous terre ?
J : Oui.
D : Est-ce qu’il y en en a que je pourrais reconnaître ?
J : Oui, je vous ai dit qu'il y avait un environnement contrôlé permettant une atmosphère dans laquelle un comptable de chez vous est capable de vivre. Si un comptable peut y vivre, ne pensez vous pas qu'ils auraient les mêmes atmosphère et habitat que lui, pour que cela soit possible ?
D : Oui, mais je pense à quelque chose qui serait de Mars, ou l'aurait été depuis le cataclysme. Quelque chose qui ne dépendrait pas d'une atmosphère créée sous la surface.
J : Il y a des endroits à l'intérieur de la planète qui sont encore d'origine, comme dans certains pays chez vous, il y a des forêts d'origine. Mais il y a eu des développements et maintenant il n'y a plus rien qui n'ait pas été touché à l’intérieur de la planète.
D : Donc il y a encore des animaux ou des insectes qui survivent ?
J : Dans les environnements naturels créés à cet effet.
D : Je pensais que si les êtres venaient d'ailleurs, ils avaient peut-être amené avec eux des formes de vie différentes. Est ce qu'il y a des animaux ou des insectes que je reconnaîtrais ?
J : Non.
D : Bon, et les autres planètes dans le système solaire ? Est-ce qu'elles ont eu des formes de vie ?
J : Oui, en effet.
D : Lesquelles ?
J : Jupiter et Venus.
D : Et Mercure ?
J : Je ne sais pas pour Mercure.
D : Est-ce que l'on peut parler de Venus ?
J : Il y a eu de la vie sur Venus ; je vous dis des choses dont je ne devrais pas parler. Mais je vais continuer car on ne m'a pas dit de m'arrêter, donc...
D : Est-ce que l'on vous arrêterait si vous ne deviez pas ?
J : Oui, je crois que oui.
D : Parce que ça nous intéresse depuis longtemps de savoir s'il y a de la vie ailleurs. Voyons, Venus est couverte de nuages, je crois, j'essaye de me rappeler de ce que je connais ; quand est ce qu'il y avait de la vie là-bas ?
J : (pause puis hésitation) Peut être devrait-on changer de sujet.
D : Ok. Je voulais vraiment vous poser une question sur l'endroit rougeoyant de Jupiter. Pouvezvous m'en parler, ou n'est-ce pas possible ?
J : Ce serait vraiment important que la Terre explore Jupiter. Et à ce point je suis... Pouvez-vous m'excuser ?
D : Ok, je ne veux pas que vous soyez ennuyé à cause de moi, peut être quelqu'un d'autre là-bas pourrait-il répondre, si c'est possible.
J : Il y en a qui ont beaucoup plus de connaissances. C'est davantage leur sujet que le mien. Mais... je ne peux pas en discuter plus longtemps avec vous pour l'instant.
D : Pensez-vous que quelqu'un qui en sait plus peut en discuter avec moi ?
J : Non, pas maintenant.
D : Ok, peut être pourra-t-on y revenir ultérieurement.
J : Oui. Un moment.
On aurait dit qu'elle parlait avec quelqu’un, elle murmura : « Oui, ...ok », on aurait dit alors qu’elle parlait dans une autre langue. C'était dur d'entendre, mais la bande d’enregistrement l'a captée : Vashusha (en phonétique : va shu sha ou Ra shu sha - sans accent) ; on aurait dit qu'elle parlait toujours avec quelqu'un, à voix basse, et visiblement pas à moi. Puis une autre langue ; cette fois-ci on aurait dit des mots différents : temtem tensavene (en phonétique : tem tem tense-sa-vene) ; elle parlait vite, les mots étaient tous liés. Les syllabes pourraient être différentes de ce que j'ai enregistré.
Sa voix devint plus forte, elle me parla de nouveau : « On m'a demandé de vous dire que la Terre est la planète la mieux placée stratégiquement pour créer... » Elle s'arrêta, son attention appelée ailleurs de nouveau. Elle chuchota : « Quoi ? » puis elle me parla de nouveau. Ce qu’il va se passer sur Terre va affecter toutes les autres planètes de votre système solaire. C'est pour cela qu'il est indispensable que la vie sur Terre se poursuive. »
D : Est-ce que quelqu'un vous communique ce que vous devez me dire ?
J : Oui, je ne peux vous dire que ce qu'on me permet de dire.
D : Est-ce que je peux vous poser des questions sur la région rouge de Jupiter ou est-ce que ce n'est plus possible de parler des planètes ?
J : Quelqu'un d'un autre département vous en parlera.
D : Ok, quelqu'un d'autre a l'information.
J : Oui, parce que l'information que l'on va vous donner est extrêmement importante pour que vous compreniez bien Jupiter et sa relation avec la Terre.
D : Et vous me le direz plus tard ?
J : Oui.